SHKareshi le 13 05 2013 17:55

Attention : Moto Hagio n'est pas venue qu'à Japan Expo. Elle a enchaîné, en venant au Salon du Livre, au Centre Georges Pompidou, puis à Japan Expo. Soit, trois fois, en l'espace de même pas six mois. C'est fou qu'une auteure de cette trempe doivent d'elle-même se déplacer "en chaîne" pour se faire connaître. Et hélas, malgré ça, la sortie du Coeur de Thomas n'a pas fait de véritable buzz.

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sakura35 le 13 05 2013 17:53

Le strap Tomoé est vraiment trop mimi :3

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SHKareshi le 13 05 2013 11:33

Le problème, c'est qu'utiliser des termes japonais de manière erronnée, ça soulève quand même énormement de questions... Ca prouve leur limite, ça prouve que quelque chose ne va pas et qu'il est peut-être temps de construire les catalogues différemment... ? Enfin, ce post ne critiquait pas fondamentalement ces "glissements" de terminologie, mais dresse plutôt un constat, pose une réflextion.

Quant à "Fight Girl", tu continues à exagérer, comme d'hab' ^_- On n'a pas dit que c'était "révolutionnaire", on a dit que ça se joue des codes. Faut pas tomber dans la caricature ^^

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SHKareshi le 13 05 2013 11:26

A priori, les deux derniers tomes seront pour début 2014.

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Lola le 10 05 2013 16:05

Pas de Shinjuku Fever jusqu'en novembre ? Snif.

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Egil le 10 05 2013 09:17

C'est plus fort que toi Gemini... Laisse Prunus Girl tranquille !!!

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Gemini le 08 05 2013 02:37

Tu prêches des convertis. Mais tu te contredis toi-même : doit-on parler de "genre", de "collection",... ? Récemment, j'en suis arrivé à une conclusion toute simple : en France, "shôjo" est un nom de collection ; les éditeurs ont ou non une collection portant ce nom, dans laquelle ils mettent les comédies romantiques, destinées au Japon à un public féminin et parfois masculin (Prunus Girl classé parmi les shôjo chez Soleil Manga).
Ainsi, classer Kids on the Slope ou 7Seeds dans des collections nommées "seinen" me parait légitime, car ce sont des adultes qui seront potentiellement intéressés par ces titres. Inversement, les amateurs des collections "shôjo" recherchent de la comédie romantique, et seraient donc déçus par les thèmes réellement abordés par ces manga.
Quant à la responsabilité des éditeurs dans la situation actuelle, je préfère ne pas en parler. Même si je pense que jamais Akata n'aurait publié La Colline aux Coquelicots sans l'anime pour en faire la promotion, et que parler d’œuvre révolutionnaire pour Fight Girl me parait déplacé.

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Anonyme le 08 05 2013 00:41

De mon côté, je ne remercierai jamais assez Akata pour avoir apporté tant de shôjo différents et qui ont des choses à faire passer, même si les temps sont plus durs. Et c'est vraiment dommage de voir que des titres comme Mitsuko Attitude ou surtout les secrets de Léa ne soient pas plus relayés par la presse généraliste notamment, alors que les secrets de Léa c'est l'exemple même du shôjo intelligent, pédagogique, qui aborde des choses essentielles et ne se fout pas de la gueule de ses lectrices en proposant une énième romance lycéenne neuneu. C'est le genre de série qui redore le blason du genre shôjo trop cantonné en France aux romances lycéennes débiles, mais bon, si aucune presse généraliste ne fait l'effort d'y jeter un oeil pour le voir, comment se sortir de la spirale infernale ? Heureusement qu'il y a quelques sites/blogs spécialisés qui font cet effort de promouvoir le shôjo différent et s'intéressent réellement à ce genre de séries différentes. Je pense à manga-news où les secrets de Léa, Mitsuko Attitude ou encore Puzzle ont été très très bien accueillis dès le départ et ont été dans leur top rédaction plusieurs fois, ou à certains blogs comme ivan isaak qui a fait un article sympa sur les secrets de Léa. Malheureusement c'est pas suffisant...
C'est vraiment triste et je comprends l'amertume de ce message, les temps sont difficiles mais de mon côté je souhaite que vous continuiez comme ça, en espérant qu'un jour ça paie. De mon côté je fais lire les secrets de Léa à ma fille et elle aime beaucoup, j'ai lu Puzzle et Mitsuko Attitude jusqu'au bout avec plaisir, j'irai au bout de Simple comme l'amour, je ferai Parapal. En fait, je me rends compte qu'à quelques exceptions près, tous mes shôjo sont chez Akata :-)

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pop le 07 05 2013 16:12

Avant je ne m'intérressai pas du tout aux shojos,j'étais plutôt shonnen et seinen jusqu'a la regardure de princess jellyfish sur nolife et kids on the slope sur dailymotion(merci dybex).Maintenant je vois bien qu'il y a des talents énorme des auteures de shojos,je ne peut que surveiller d'un quoi de l'oeil ce qui se passe dans cette section de manga,tout en continuant a vouer un culte a sangoku(naturellement) et lire one piece et autre seinen:)

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a-yin le 07 05 2013 12:25

SHK... tu sais ce que j'en pense je crois. C'est un genre sur lequel personne ne se penche, et les intellectuels qui s'intéressent à la BD ocultent quand même pas mal ce pan du manga, ou y vont très vite fait (et à part Moto Hagio, en effet, on entend peu parler des autres, celles qui ne font pas partie du groupe de l'an 24). Tout ce qui touche au féminin culturellement passe pour ridicule j'ai l'impression.

La différence, je trouve (entre ici et les Etats-Unis), avec Matt Thorn, dans les années 90, c'est la volonté (mais je me trompe peut-être) de faire découvrir le shôjo aux lecteurs, avec des auteures type Moto Hagio, Akimi Yoshida, Yumi Tamura, Keiko Nishi, et puis Shio Sato (je veux en lire plus d'elle!), d'écrire aussi des textes d'intro dans ses manga. Après, ça a beaucoup changé avec l'arrivée de Tokyopop et Sailor Moon là bas. Mais il y a eu, enfin, je le ressens comme tel, une véritable ambition à un certain moment. Lorsque tout était à construire.

Quant au Coeur de Thomas, je suis la première consternée de cette absence d'appareil critique lors de la sortie de l'édition française. Ca m'apprendra à avoir eu ne serait-ce que l'envie de soutenir la sortie d'un Moto Hagio dans nos contrées...

Je regrette de ne pas avoir découvert plus tôt Simple comme l'amour.

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