Vous le savez, chez Akata, on aime le shôjo manga sous toutes ses formes. Cela signifie publier des autrices à la longue carrière, mais aussi dénicher de nouvelles pépites. C’est le cas d’Akari Hatta, une mangaka qui nous a tapé dans l’oeil ! Aussi, nous sommes très heureux de vous présenter Et plus si affinités ?, sa première série en 2 tomes.
Résumé : Minami est une fille sérieuse, issue d’une famille aux règles strictes. Toutefois, en secret, elle fréquente depuis quelque temps le beau Tôdô, qu’elle a rencontré à son petit boulot. De quatre ans son aîné, Tôdô se montre très peu tactile à l’égard de sa petite amie... Minami a pourtant très envie que leur relation passe à la vitesse supérieure, mais elle ne sait pas comment le lui dire. Jusqu’au jour où, malencontreusement, elle laisse traîner au travail un des mangas coquins dont elle raffole...
Cette romance nous présente deux personnages qui sont déjà en couple depuis quelque temps, et nous propose de les suivre à un moment charnière de leur relation : celui où ils souhaitent passer à l’étape suivante, mais ils ne savent pas comment se le dire, et aussi, s’ils sont vraiment prêts pour ça. En fait, tout en regardant avec tendresse la relation de ses personnages, la mangaka nous parle bel et bien de la découverte du désir. Avec le contexte familial de l’héroïne et son père ultra-protecteur, l’humour dont sait faire preuve la mangaka mais aussi son style graphique magnifique, nul doute que Et plus si affinités ? séduira sans mal les amateurs de romances positives et qui font du bien.
Et comme on a envie de défendre tout particulièrement cette dessinatrice qui s’annonce très prometteuse, on met les petits plats dans les grands pour l’accueillir : les deux tomes de cette série seront disponibles simultanément… Mais ils seront également accompagnés d’un coffret collector intégral, qui contiendra (en plus des deux mangas) de cinq magnifiques cartes postales. Il sera commercialisé au prix de 17,99 euros. A noter qu'il s'agit d'un coffret en carton solide, à l'identique de ceux d'orange ou du Mari de mon frère.
Le manga est traduit par Marina Bonzi, mis en pages par Isabelle Bovey et le logo de couverture est signé Clémence Aresu. Rendez-vous début mai pour découvrir tout le talent d’Akari Hatta, et soyez-sûrs que nous n’avons pas finis de parler d’elle !
