Culture

Décidement, depuis son lancement, Netflix continue de me combler ! L'arrivée du service au Japon était, pour moi, pleine de promesses.

Cela fait un bon moment que je prépare ce post… Mais le manque de temps, la fatigue, la surcharge de travail… tout ça quoi… ont fait que je n'ai eu cesse de le remettre à plus tard. Mais je crois qu'aujourd'hui, avec la polémique autour des sélections du Grand Prix d'Angoulême, il est grand temps, n'est-ce pas ?

Je viens donc de découvrir, en replay, le documentaire diffusé hier soir, sur France 2 : "Souffre-douleurs : ils se manifestent". Et que dire… Que dire que trop souvent, encore aujourd'hui, ce genre de documentaire et de témoignages réveille en moi de bien désagréables souvenirs. Les souvenirs d'un enfer quotidien, subit, éprouvé, pendant deux très longues années. Comme le disait une de mes très bonne amie : "Cela laisse des traces à jamais".

Il y a des jours comme ça, où plutôt que de se lobotomiser devant un épisode d'une série TV pour se détendre, on commence à regarder autre chose. Aujourd'hui, c'était un jour comme ça. Accroché par une affiche, au visuel fort, et puis aussi - j'avoue - par le gorille dessus, j'ai lancé ce documentaire, Virunga, dont je n'avais jamais entendu parler. Je m'attendais vaguement à un documentaire animalier, sur des gardes forestiers courageux.

Ces derniers temps, le blog Akata n'est vraiment pas très actif. Il faut dire qu'avec tout le travail qu'on a, le soir et le week-end, on n'a pas forcément envie de se remettre sur l'ordi, pour écrire des choses très constructives ! Mais se mettre devant un écran, pour faire d'autres choses, pourquoi pas ? Et j'avoue que, en ce moment, la Wii U nuit grandement à ma sociabilité et à ma productivé post "heures officielles de travail".